
Je suis agnostique, ce qui signifie que ma réponse à la question « Dieu existe-t-il ? » est « je ne sais pas et je ne peux pas savoir ». C’est, à mon sens, la seule réponse rationnelle. Il n’en demeure pas moins qu’il est du droit de chacun de répondre autrement. Je peux avancer mes arguments. D’autres avanceront les leurs.
Mais il n’existe pas d’argument rationnel irréductible sur cette question. Il ne peut exister que des actes de foi : soit « Dieu existe », soit « Dieu n’existe pas ». Un acte de foi, c’est, en logique, ce qu’on appelle un postulat. Le problème est que beaucoup de gens qui sont persuadés d’être très rationnels refusent de reconnaître leurs postulats comme tels. C’est notamment le cas sur la question de Dieu. (suite…)
Le premier des droits est -dit-on- celui à la vie. Pourtant, dans nos sociétés occidentales modernes, démocratiques et ayant horreur du moindre risque, il existe un droit au moins autant important qui est nié. Il s’agit du droit à la mort. Plus exactement, du droit à vivre et à mourir comme chacun l’entend.
The Revenant, d’Alejandro González Iñárritu, avec Leonardo DiCaprio, Tom Hardy et Domhnall Gleeson, est une belle histoire de vengeance comme les Américains les aiment. Hugh Glass, un trappeur blessé par une attaque d’ours et laissé pour mort par ses camarades, va revenir dans la civilisation.
Ave César ! de Joel et Ethan Coen, avec Josh Brolin, George Clooney et Alden Ehrenreich, nous ramène à l’âge d’or d’Hollywood. Les films de tous genres sont faits à la chaîne dans l’usine à rêves.
Zootopie, de Byron Howard, Rich Moore, est un Disney bien moral et familial. Dans ce monde sans humain, les animaux ont évolué et ont réussi à créer une civilisation harmonieuse où prédateurs et proies vivent en paix.
Deadpool, de Tim Miller, avec Ryan Reynolds, Morena Baccarin et Ed Skrein, change un peu du film classique de super-héros. A l’origine, il s’appelle Wade Wilson, un ex-militaire devenu mercenaire et surtout victime d’un cancer. Il accepte un traitement particulier qui le transforme en monstre, nécessitant qu’il soit désormais masqué.