Du 4 novembre 2025 au 4 janvier 2026, le photographe Clint expose à l’Espace Culturel Robert Doisneau, à Meudon. Spécialisé dans la photographie de rue avec un important travail sur les couleurs, Clint présente également la totalité de son travail sur le web.
Ceux qui me connaissent savent que je déteste les fameux « ayant-droits » (producteurs, éditeurs, etc.) qui s’accaparent la propriété intellectuelle des créateurs à des fins mercantiles et constituent une espèce parasite particulièrement vorace. Avec l’émergence de l’Intelligence Artificielle (IA), il était évident que ces braves gens finiraient par trouver un moyen de flouer davantage les créateurs.
Coup sur coup, deux communiqués de presse ont été publiés qui vont effectivement dans ce sens. Cela s’ajoute aux premiers pas des acteurs purement IA dont j’ai déjà eu l’occasion de parler.
Il y a un évident intérêt à comprendre les échecs antérieurs pour les éviter. Et comprendre aussi que certains « échecs » n’en sont pas (typiquement le Minitel), étant juste des précurseurs.
En 2016, lors d’un dîner-débat public, le toujours clairvoyant Michel Rocard expliqua fort doctement : « en matière de grande catastrophe publique, toujours privilégier la connerie au complot. La connerie est à la portée de tous, c’est donc assez largement répandu. Le complot nécessite beaucoup d’intelligence et d’organisation, c’est très rare. » Cependant, un aspect du problème avait échappé à l’ancien Premier Ministre : et si la connerie était le résultat d’un complot ? Et si ce complot était d’origine extraterrestre ?
C’est l’hypothèse qui est prise par Philippe Rosé dans son roman « Tour de Chauffe« . Celui-ci a été initialement écrit à la fin des années 1990 (sans être publié) et a été récemment remis au goût du jour avant d’être publié sur Amazon. L’auteur est en effet en train de ranger sa cave (et son ordinateur) où il retrouve parfois quelques pépites.
Ceux qui connaissent ce blog et son auteur savent à quel point j’exècre le végétarisme et le véganisme. J’ai déjà réalisé un billet « L’envahissante propagande végane« , généraliste, et un autre spécifiquement sur le cannibalisme, argument régulièrement ressorti dans la propagande végétarienne.
Il y a un aspect particulier que je n’ai malgré tout pas encore traité : le jugement moral sur le fait de manger de la viande. L’argument de base des végétariens est « il est mal de tuer un animal mais aucun problème pour tuer un végétal ». Voyons ici pourquoi cette différence, cette hiérarchie du vivant.
La justification moderne est le fameux concept fumeux de « sentience ». Mais revenons plutôt aux fondamentaux religieux.
Fin août, j’annonçais la sortie d’un recueil de nouvelles baptisé « Sabotage ! (Et autres nouvelles électroniques) » dans ce billet de blog. L’une des nouvelles, intitulée « Les nouveaux acteurs », imaginait l’arrivée d’acteurs entièrement générés par intelligence artificielle, pour copier le passé d’une part, pour créer des acteurs originaux d’autre part.
Encore une fois, la fiction est dépassée rapidement par le réel. Elle s’appelle Tilly Norwood.
« Sabotage ! (Et autres nouvelles électroniques) » vient de paraître. Comme j’en ai décidé désormais, la version électronique est disponible gratuitement sur mon site dans les ouvrages de science-fiction. En version papier, il est disponible sur The Book Edition.
La dernière semaine de juillet (et le début de la première d’août), j’ai passé sept jours à Madère, île que je ne connaissais pas. Comme d’habitude, vous trouverez sur mon site mon récit de voyage et mes photos.
L’endroit est connu pour être magnifique. Je vous le confirme.
« Balanegra », de Marto Pariente, est paru en série noire aux éditions Gallimard. Ce polar m’a été offert par une amie et m’a permis de découvrir cet auteur espagnol.
Il a obtenu le Prix des Jeunes Libraires Série Noire 2025. Nouvelle exception dans mon jugement habituellement sévère sur les prix en tous genres : ce prix est bien mérité et le roman excellent.
J’ai découvert l’autrice Lilia Hassaine au travers de son roman dystopique « Panorama« . Bien que cela m’éloigne en général d’un ouvrage, j’ai acquis celui-ci malgré les nombreux prix reçus. Et je n’ai pas été déçu.
Dans cette dystopie, la règle est la transparence la plus absolue. Celle-ci serait gage de sécurité mais un meurtre survient.