
Le 18 mars 2021, l’Espagne a rejoint les Pays-Bas, la Belgique et le Luxembourg en devenant le quatrième pays d’Europe à donner le droit de mourir dans la dignité en légiférant sur l’euthanasie. A ces quatre là s’ajoute la Suisse qui n’a pas une véritable législation sur le sujet même si, concrètement, cela ne change pas grand’chose. Et le débat est actuellement ouvert, au Parlement, en France.
J’ai abordé ce sujet dans un roman : Une dernière semaine auprès de la mer. Celui-ci date du printemps 2018.
C’est pour moi un sujet important et je me réjouis des avancées en cours. Si vivre est un droit, mourir doit l’être aussi. Rien ne me fait plus horreur que d’être, peut-être, condamné à lentement me liquéfier dans un lit, à y pourrir en perdant sans doute l’esprit et à coup sûr la dignité. Je n’aurais alors plus la moindre utilité mais je représenterais une charge pour tous : mes proches, bien sûr, mais aussi les contribuables.
Etant agnostique, j’ignore ce qui nous attend (ou pas) derrière le mur de la mort. Si celle-ci est la fin, autant que ce soit rapide. Si quelque chose nous attend après, alors inutile d’attendre dans la souffrance. Quel dieu serait assez cruel pour nous condamner à cela ? Il faut être un humain pour cela.



L’émotion a été énorme suite à l’incendie de la charpente de Notre-Dame de Paris. Que restera-t-il de l’un des plus grands symboles de Paris ? Il faudra des mois pour savoir ce qui peut être sauvé, des années pour reconstruire ce qui pourra l’être. Les bois millénaires travaillés par des milliers de mains d’artisans talentueux sont perdus à jamais.
A l’occasion d’un peu de ménage, j’ai redécouvert dans mes archives « 
Les religions -surtout monothéistes- mettent de l’absolu là où il y a du relatif, de la stabilité là où il y a du changement. Et, de ce fait, elles bloquent et provoquent des conflits. Elles empêchent les humains d’évoluer, de changer, de se remettre en cause. Elles nuisent au bonheur. Je vais ici le démontrer.