
Le principe du cinéma comme de la fiction en général repose sur un concept essentiel : la suspension d’incrédulité. Il s’agit que les choses que l’on raconte ne soient pas remises en cause par le lecteur ou le spectateur. Les vampires existent sinon Dracula ne peut pas être raconté. Bon. Voilà la règle. Mais la suspension d’incrédulité est parfois une mission impossible pour le spectateur.
C’est précisément le cas avec « Mission : Impossible – The Final Reckoning ». Ce dernier (en date) avatar de la saga cinématographique ayant dénaturé la série des années soixante/soixante-dix est une mine d’idioties et d’incohérences faisant parfaitement suite au film précédent dont il constitue la deuxième partie, « Mission : Impossible – Dead Reckoning« .
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