Le coronavirus Covid-19 provoque actuellement une certaine panique. Il y a des morts. Des mesures draconiennes sont prises pour tenter de limiter la contagion. De nombreux événements où la foule se serait massée sont annulés. C’est un bon moment pour se poser une question : un tel virus pourrait-il vraiment mettre en danger l’humanité ?
Il se trouve qu’au moment de rédiger Le survivant solitaire, je m’étais intéressé à la question. Il fallait en effet que mon roman, bien que d’anticipation, soit un peu crédible.
Mon dernier roman, Velik Kantor et les chasseurs de dragons, qui vient de paraître, constitue une occasion de revenir sur les dragons. Ces créatures mythiques sont en effet fascinantes à bien des égards, d’abord par leur diversité, même si, la plupart du temps, ils représentent une force maléfique ou hostile aux humains.
S’il existe quelques animaux réels qui comportent le terme « dragon » dans leur nom, comme le dragon de Komodo, une sorte de varan, on peut dire que le dragon (au sens courant du terme) est un animal imaginaire. Mais sa description est pour le moins variable. Des dragons chinois aux dragons cracheurs de feu des mythes du Moyen-Age occidental, le dragon n’a guère de description claire. Celui de la Bible est un simple serpent, voire un lézard vivant dans le feu (mais ne le crachant pas) de l’Enfer.
Créer puis diffuser ses œuvres sans avoir de compte à rendre à quiconque, sans avoir à tenir compte des modes et en restant pleinement maître de ses créations. Voilà ce qu’apporte l’auto-édition (pour les écrits) ou l’auto-production (pour la musique et la vidéo).
Jadis, il fallait être riche pour se le permettre. Ce n’est plus vrai. L’auto-production est à la portée d’individus ordinaires, l’auto-édition est d’un coût quasi-nul. Un ordinateur et des logiciels, éventuellement libres, suffisent pour l’auto-édition.
Cette fois, le divorce entre l’Union Européenne et le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande-du-Nord est prononcé avec effet au 31 janvier 2020. Ce divorce a un nom : Brexit.
Les relations entre l’Anglais et les Européens ont toujours été compliquées et ont souvent résulté du hasard. C’est ainsi que ces relations ont pu être modifiées à plusieurs reprises dans mon recueil de nouvelles uchroniques, Les derniers seront les premiers.
Et j’ai consacré un long passage de ma conférence Les mythes de l’Europe Chrétienne à cette chère Jeanne d’Arc ainsi qu’à la Guerre de Cent Ans.
C’est la fin du monde ! On entend partout cette rengaine ! L’homme a causé le réchauffement climatique et il va détruire la Terre. Calmons-nous, un peu. Certes, l’homme provoque un réchauffement climatique. Certes, nous vivons en ce moment la sixième extinction massive des espèces.
Mais est-ce pour autant la fin du monde ? Non, rassurez-vous. Le monde en a vu bien plus, bien pire.
Je réalise de temps à autres quelques conférences sur des sujets très variés. Il en est une qui a un certain succès qui s’intitule « De la Pax Deorum au Christianisme officiel« . Elle se consacre au fondement de l’Empire Romain, la fameuse Pax Deorum, et comment celle-ci a évolué pour laisser la place au Christianisme officiel, toujours dans un but politique d’unité de l’Etat.
Les individus médiocres, les lecteurs de salons snobs et autres incultes persuadés que seuls les ouvrages illisibles sont de la culture rangent toutes les littératures de l’imaginaire sous un seul vocable : science-fiction. Avec mépris. Rendons leur au centuple leur mépris : ils l’ont bien mérité. Et allons plus loin que mon précédent coup de gueule sur le sujet.
Si vous êtes ici, vous n’êtes pas comme ces snobs. Vous savez que les littératures de l’imaginaire sont riches et diverses. Découvrons ensemble cette richesse et, plus particulièrement, un sous-genre moins connu qu’est la science-fantasy (ou science-fantaisie), sous-genre que j’ai visité avec Le Cirque du Monde.
Star Wars : L’Ascension de Skywalker (Star Wars 9), de J.J. Abrams, avec Daisy Ridley, Adam Driver et Oscar Isaac, conclut l’arc narratif principal de l’univers créé par George Lucas, celui de la famille Skywalker. Au bout de neuf films (trois trilogies), il était temps.
La famille Skywalker est née d’une manipulation de la Force. Il faut donc que son histoire s’achève pour que l’équilibre soit rétabli. Mais, après tout, il peut y avoir des adoptions… (suite…)
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