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  • Heureux les agnostiques car l’amour de Dieu est à eux

    Les belles histoires de Tonton PierreAvec les absurdités et les crimes commis au nom des diverses religions, même dévoyées, on ne peut pas douter que Dieu -s’il existe- n’est guère satisfait de ses partisans. Et si les meilleurs des hommes, pour un éventuel Dieu, étaient les agnostiques ? Si le Pari Pascalien était une escroquerie ?
    Je vous accorde que la proposition peut surprendre voire scandaliser. Mais je m’en vais vous l’expliquer après avoir précisé que je me considère moi-même comme agnostique. (suite…)

  • La Pax Deorum, une paix des braves pour les dieux

    Les belles histoires de Tonton Pierre

    La Pax Deorum est la marque d’une vieille civilisation, la civilisation romaine. Elle est la marque d’une époque à jamais enfuie où le terrorisme religieux, de l’Inquisition à Daesh, n’avait pas de sens. Elle est la marque d’un mode de pensée qui ignorait les religions monothéistes se réclamant d’Abraham. Elle est la marque de dieux qui n’exigeaient pas « Tu n’auras pas d’autre dieu que moi car je suis un dieu jaloux ».
    C’est tellement inconcevable aujourd’hui que ce pilier de la civilisation romaine n’est pas enseigné dans les écoles françaises. Du moins, ce n’est pas prévu dans les manuels scolaires.

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  • Histoire des Evangiles : colportage de bonnes nouvelles

    Les belles histoires de Tonton Pierre

    L’histoire des textes chrétiens, notamment les Evangiles, et celle de l’Eglise primitive sont totalement inconnues de la plupart des gens. Il est vrai qu’elles ne sont pas enseignées à l’école où, déjà, des pans entiers de notre histoire récente passent souvent à la trappe pour cause de fin d’année scolaire arrivant avant la fin des programmes (citons ainsi la Commune de Paris comme exemple le plus typique). Restent les seuls passionnés pour se pencher sur le sujet…

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  • Et Dieu dans tout ça ?

    Les belles histoires de Tonton PierreLa notion de Dieu, sa définition, est très variable dans le temps et selon les cultures. Or le mot, lui, ne change pas. La confusion est souvent totale et les disputes basées sur des malentendus. Et si on essayait d’y voir plus clair ?

    Les archéologues ont parfois de grandes difficultés à définir si un squelette est humain ou non, s’il appartient à une race de grands singes développés ou au contraire à un humain primitif. Deux critères sont souvent retenus: la présence ou l’absence d’outils et la présence ou l’absence d’une «mise en scène» de la mort (position particulière et artificielle du cadavre, tombe creusée manuellement, statuettes ou objets divers placés à ses côtés, etc.). (suite…)