L’Ordre et la morale, de et avec Mathieu Kassovitz, raconte les évènements tragiques de la grotte d’Ouvéa, en Nouvelle Calédonie, en 1988. En pleines élections présidentielles françaises, un petit groupe d’indépendantistes prend d’assaut une gendarmerie, prend en otages des gendarmes et en tue plusieurs.
L’enchainement des fautes dans les deux camps va mener au carnage.
Les Marches du Pouvoir, de George Clooney, avec Ryan Gosling et George Clooney, nous emmène dans les coulisses d’une campagne électorale américaine aux primaires démocrates. On y suit un jeune héros idéaliste, des jeunes stagiaires, des vieux briscards, le candidat au dessus de tout soupçon…
Les Aventures de Tintin : Le Secret de la Licorne, de Steven Spielberg et Peter Jackson, adapte au cinéma les aventures du célèbre reporter. Passer de la bande dessinée en ligne claire belge à l’animation 3D en capture de mouvement était en lui-même un pari.
Un monstre à Paris, de Eric Bergeron, avec les voix de Vanessa Paradis et Mathieu Chédid, fait partie de ces contes qui plaisent autant aux petits qu’aux grands. Voilà donc deux énergumènes qui touchent à des choses qu’ils n’auraient pas dû, transformant une puce en monstre géant à la voix mélodieuse mais qui terrorise les foules.
The Artist, de Michel Hazanavicius, avec Jean Dujardin, Bérénice Bejo, est muet, en noir et blanc et a obtenu une palme à Cannes. Trois raisons pour s’en méfier, n’est-ce pas ? Un délire esthétisant ? Un caprice d’artiste ?
La Nouvelle guerre des boutons, de Christophe Barratier, avec Laetitia Casta et Guillaume Canet, est donc la seconde adaptation très libre du célèbre roman de Louis Pergaud, publié en 1912, à sortir sur les écrans en 15 jours, après
La guerre est déclarée, de et avec Valérie Donzelli, avec également Jérémie Elkaïm, aurait pu être glauque ou mièvre. Comment faire autrement avec cette histoire de Roméo rencontrant Juliette, les deux ayant ensemble un enfant atteint d’un cancer des plus graves ?
La Guerre des boutons, de Yann Samuell, avec Eric Elmosnino et Mathilde Seigner, adapte très librement le célèbre roman de Louis Pergaud, publié en 1912. L’histoire est ainsi déplacée dans les années 1960 et la « guerre » devient un prétexte pour une histoire de gamins.
Habemus Papam, de et avec Nanni Moretti, avec également Michel Piccoli, a été applaudi à Cannes. Pour une comédie dramatique, c’est mauvais signe. Mais ne boudons malgré tout pas tout notre plaisir.
Cowboys et envahisseurs, de Jon Favreau, avec Harrison Ford et Daniel Craig, aurait pu être une série B très honnête. Mélanger deux thèmes classiques de films d’action pour donner une saveur originale permet de rebattre les cartes de thèmes battus et rebattus.