Hunger Games, de Gary Ross, avec Jennifer Lawrence et Josh Hutcherson adapte le premier tome de la trilogie écrite par Suzanne Collins. Dans un futur imprécis, les anciens Etats-Unis ont été ravagés par diverses catastrophes et une guerre civile contre un gouvernement totalitaire basé dans une capitale nouvelle, le Capitole.
De nouveaux jeux du cirque télévisés opposent un garçon et une fille issus de chacun des 12 districts avec une règle de base : un seul survivant parmi les 24 concurrents. (suite…)

Eva, de Kike Maillo, avec Daniel Brühl, Marta Etura et Claudia Vega, démontre que les Espagnols savent faire de très bons films de science-fiction. Ici, pas de grands effets spéciaux mais juste un monde dans une trentaine d’années, très proche du nôtre si on excepte quelques gadgets et des interfaces 3D.
La Dame en noir, de James Watkins, avec Daniel Radcliffe et Ciarán Hinds, permet à l’ex-Harry Potter de se recycler cette fois dans la peau d’un adulte et qui plus est un père. En l’occurrence, le voici en notaire londonien parti au fin fond d’un trou perdu.
Cloclo, de Florent Emilio Siri, avec Jérémie Renier et Benoît Magimel, poursuit la mode du biopic, cette fois avec la vie de Claude François. Le chanteur de variétés dans toute son horreur autant que sa splendeur est ici campé avec un incroyable talent par Jérémie Renier.
John Carter, de Andrew Stanton, avec Taylor Kitsch et Lynn Collins adapte assez librement le célèbre roman Une Princesse de Mars d’Edgar Rice Burroughs. Voici donc un officier sudiste qui, après la Guerre de Sécession cherche de l’or et trouve par accident un moyen de se rendre sur Mars.
Les Infidèles, de Jean Dujardin, Gilles Lellouche, Emmanuelle Bercot, Fred Cavayé, Michel Hazanavicius, Eric Lartigau et Alexandre Courtès, avec les deux premiers et quelques beaux seconds rôles (Alexandra Lamy, Sandrine Kiberlain…) dresse un portrait de l’infidélité masculine.
Cheval de guerre, de Steven Spielberg, avec Jeremy Irvine, Emily Watson et Niels Arestrup, nous ramène au temps de la Première Guerre Mondiale. Un jeune paysan anglais du Devon est séparé de son cheval, acquis par l’armée pour aller dans les tranchées françaises. Il s’engage dans l’espoir de le retrouver et de le ramener.
La Taupe, de Tomas Alfredson, avec Colin Firth, Gary Oldman et Tom Hardy, nous replonge dans la guerre froide en adaptant un roman de John Le Carré. Voici donc un des hauts responsables des services secrets anglais d’abord mis à la retraite puis chargé de retrouver une taupe.
La Dame de fer, de Phyllida Lloyd, avec Meryl Streep, Jim Broadbent et Alexandra Roach, raconte bien sûr la vie de Margaret Thatcher. Première dirigeante d’un pays occidental, premier ministre britannique durant onze ans, celle qui ne pliait jamais n’est plus qu’une vieille femme sénile, victime d’hallucinations (comme son mari mort).