Il permet d’admirer les arts (surtout religieux) d’Inde mais aussi du Cambodge, du Vietnam et des pays alentours. Si le bouddhisme est évidemment très présent partout en Asie, c’est l’occasion de découvrir que, en fait, l’Hindouisme l’a précédé partout, y compris dans des zones que l’on imaginerait plutôt soumises à l’influence chinoise comme le Vietnam ou le Cambodge.
Après les fâcheries avec Reed Expositions et la crise sanitaire, le Syndicat National de l’Edition (SNE) a donc relancé un salon du livre à Paris. Exit Livre Paris, tous les ans Porte de Versailles.
2022 a donc vu naitre le Festival du Livre de Paris, du 22 au 24 avril, au Grand Palais Ephémère, un pseudo-Grand-Palais temporaire installé sur le Champ de Mars en attendant la fin des travaux au vrai Grand Palais.
Le Musée Albert-Kahn, situé à Boulogne-Billancourt en région parisienne, est issu des travaux et de la générosité du banquier philanthrope juif alsacien Albert Kahn. Au début du vingtième siècle, celui-ci multiplie les fondations et les oeuvres pour accroître la connaissance de chacun sur le reste du monde, en grande partie grâce à l’émergente photographie et au cinématographe.
Il en résulte un travail documentaire unique sur le monde de l’époque d’Albert Kahn. Le musée a récemment été rénové de fond en combles et voit désormais ses collections abritées dans un nouveau bâtiment remarquable dû à l’architecte Kengo Kuma. Ouvert début avril 2022, le nouveau musée propose bien sûr une exposition permanente (une sélection des clichés pris sous l’égide d’Albert Kahn) mais aussi une exposition temporaire « Autour du monde ». Celle-ci s’appuie essentiellement sur l’un des voyages d’Albert Kahn mais complète par des photos plus récentes, s’achevant même par des clichés de la surface de Mars dus à la sonde Curiosity.
L’Hôtel de la Marine, sur la place de la Concorde, est le dernier musée ouvert à Paris. L’endroit a une longue histoire : d’abord lieu dédié au mobilier royal (ancêtre du Mobilier National), il a ensuite été le site du Ministère de la Marine (et des colonies). C’est de cette affectation qu’est issu son nom d’Hôtel de la Marine. Plus près de nous, il était l’endroit où la Marine Nationale avait son quartier général avant le regroupement sur le site de Balard.
Désormais, il est donc un musée sur sa propre histoire et les sujets associés à ses fonctions successives. On peut aussi y circuler sur des coursives avec une vue magnifique sur la Place de la Concorde.
Situé dans le centre de Roubaix, dans la métropole lilloise, le musée « La Piscine » est bien sûr construit dans une ancienne piscine. Celle-ci est un magnifique écrin art-déco à tous les arts décoratifs. Ce musée, inauguré il y a vingt ans, a en effet fusionné plusieurs anciens musées de la ville.
On y trouve donc bien sûr des peintures et des sculptures, à partir du XIXème siècle jusqu’à aujourd’hui. Les styles présents sont variés et prennent souvent le monde du travail ou la vie quotidienne des humbles comme thèmes. Des fresques et autres décorations complètent cette première partie.
Une partie plus originale provient de l’ancien musée du textile. Les pièces exposés relèvent autant du catalogue de motifs et de tissus que de vêtements.
La petite ville de Fécamp, sur la côte normande entre Etretat et Dieppe, fut jadis une ville industrieuse et prospère. A l’époque du Duché de Normandie, elle fut un port important.
Au XIXème siècle et jusque dans les années 1970, la richesse de la ville reposait beaucoup sur la pêche, notamment la pêche à la morue.
L’actuel Musée des Pêcheries, situé dans le port, est issu du regroupement de plusieurs musées, notamment le Musée des Terre-Neuvas.
Le musée municipal de Nogent-sur-Seine, dans l’Aube, a été rénové et inauguré en 2018 en grandes pompes. Il a rebaptisé pour l’occasion Musée Camille Claudel.
Le nom de Brocéliande évoque la forêt légendaire du centre de la Bretagne, à l’ouest de Rennes. Cette forêt est indissociable de bon nombre de légendes, notamment autour du mythe arthurien.
Le château de Comper a été rénové et est devenu un musée consacré à ce mythe arthurien. Très pédagogique, il présente en détail les légendes dans une scénographie très adaptée à des sorties scolaires.
La forêt elle-même, bien entendu, est un but de promenades. C’est notamment le cas du célèbre Val-Sans-Retour dont, malheureusement, tout le monde revient, même votre belle-mère.
Dans la ville de Rochefort-en-Terre, quelque part en Bretagne entre Redon et Vannes, vivait au tournant du XIXème et du XXème siècle une sorcière. Celle-ci se nommait Naïa. Elle vivait en recluse, en troglodyte, dans les ruines du château ou plutôt dans les souterrains de ces ruines.
Comme toutes les authentiques sorcières, elle était chamane, guérisseuse et tout ce qu’il faut pour servir la population locale. Et, bien entendu, elle était assez étrange pour exciter l’imagination des bourgeois. Il va de soi qu’un jour elle mourut.
Lorsque le château fut rénové pour y installer un musée des arts fantastiques, il prit naturellement le nom de Naïa Museum.
Le Naïa Museum sert également de galerie où des oeuvres d’artistes plus ou moins contemporains sont exposées et vendues. On y trouve toutes sortes de créations, essentiellement des sculptures, souvent des mobiles illuminés, mais aussi des peintures. Si des styles variés sont présents, il existe une unité autour d’un thème : l’imaginaire, le fantastique.
Enfin, le village de Rochefort-en-Terre mérite aussi une visite. Bien rénové, il met en valeur un caractère bien breton. Et il dispose de nombreuses boutiques d’artisanat locaux. Son centre est totalement piétonnier, favorisant de ce fait la promenade.
Voilà un lieu étrange, célèbre et inconnu à la fois. Le cimetière des chiens et autres animaux domestiques d’Asnières, dans la banlieue parisienne, est l’un des rares cimetières d’animaux dans le monde. On y trouve des tombes d’animaux domestiques (chiens et chats surtout) avec monuments funéraires, modèles réduits de monuments destinés aux humains (ou monuments monumentaux parfois).
Quelques monuments sont somptueux, d’autres plus simples. Les épitaphes sont parfois touchantes, souvent ridicules.
L’originalité du lieu amène à une visite intéressante.
Le cimetière des chiens et autres animaux domestiques d’Asnières se situe le long de la Seine, entre deux stations de métro de la ligne 13, Gabriel-Péri et Mairie-de-Clichy.
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